Les restaurants fantômes : bientôt au Québec?

Avec l’explosion de la popularité des services de livraison comme Uber Eats, Foodora et SkipTheDishes, un tout nouveau concept a vu le jour du côté des États-Unis et de la France : les restaurants fantômes. Que sont-ils, où sont-ils et comment opèrent-ils?
Partout et nulle part à la fois, les restaurants fantômes se trouvent à tous les coins de rue. Concept inspiré des géants du web, ces restaurants n’ont aucune enseigne, aucune place assise et encore moins du personnel de service. Entreprises entièrement virtuelles, ces restaurants fantômes, aussi appelés « dark kitchen », existent uniquement pour les services de commande en ligne. Lorsqu’un client choisit son repas préféré à l’aide d’une des diverses applications mobiles, la commande n’est pas envoyée à l’établissement en question. Elle est plutôt transmise à une équipe réduite de cuisiniers qui opèrent dans une cuisine indépendante.
Voyant la popularité des services de livraison monter en flèche, bon nombre de restaurants américains et français, petits et grands, ont choisi de s’y attarder sérieusement. Les restaurants fantômes leur permettent maintenant d’offrir un service rapide autant en salle qu’à la livraison. Aux États-Unis et en France, on en dénombre déjà des milliers.
Quels sont les avantages?
Pour les restaurateurs, comme ils n’ont plus besoin d’un grand espace pour offrir un maximum de places assises, les frais de logement sont grandement réduits. De plus, comme, ces cuisines n’ont plus besoin de personnel de service, le coût des opérations est réduit à la nourriture et à quelques cuisiniers. Ces « dark kitchen » sont donc un excellent moyen de réduire les dépenses et d’augmenter ses revenus grâce à la livraison.
En plus de leur côté économique, ces cuisines secrètes offrent l’occasion aux restaurateurs d’innover avec leur menu. En effet, comme il s’agit d’un service en ligne, il est plus facile d’intégrer ou de retirer rapidement des plats du menu en fonction de leur popularité ou de leur disponibilité. Avec cette nouvelle liberté, les restaurateurs peuvent donc tester de nouveaux plats et voir la réaction instantanément. Si un plat est populaire, ils peuvent l’inclure à leur menu en salle et ainsi éviter le gaspillage alimentaire.
Devant le succès grandissant de ces applications mobiles et avec la pénurie de main-d’œuvre, gageons que ces restaurants fantômes verront rapidement le jour, ici, au Québec.
Partout et nulle part à la fois, les restaurants fantômes se trouvent à tous les coins de rue. Concept inspiré des géants du web, ces restaurants n’ont aucune enseigne, aucune place assise et encore moins du personnel de service. Entreprises entièrement virtuelles, ces restaurants fantômes, aussi appelés « dark kitchen », existent uniquement pour les services de commande en ligne. Lorsqu’un client choisit son repas préféré à l’aide d’une des diverses applications mobiles, la commande n’est pas envoyée à l’établissement en question. Elle est plutôt transmise à une équipe réduite de cuisiniers qui opèrent dans une cuisine indépendante.
Voyant la popularité des services de livraison monter en flèche, bon nombre de restaurants américains et français, petits et grands, ont choisi de s’y attarder sérieusement. Les restaurants fantômes leur permettent maintenant d’offrir un service rapide autant en salle qu’à la livraison. Aux États-Unis et en France, on en dénombre déjà des milliers.
Quels sont les avantages?
Pour les restaurateurs, comme ils n’ont plus besoin d’un grand espace pour offrir un maximum de places assises, les frais de logement sont grandement réduits. De plus, comme, ces cuisines n’ont plus besoin de personnel de service, le coût des opérations est réduit à la nourriture et à quelques cuisiniers. Ces « dark kitchen » sont donc un excellent moyen de réduire les dépenses et d’augmenter ses revenus grâce à la livraison.
En plus de leur côté économique, ces cuisines secrètes offrent l’occasion aux restaurateurs d’innover avec leur menu. En effet, comme il s’agit d’un service en ligne, il est plus facile d’intégrer ou de retirer rapidement des plats du menu en fonction de leur popularité ou de leur disponibilité. Avec cette nouvelle liberté, les restaurateurs peuvent donc tester de nouveaux plats et voir la réaction instantanément. Si un plat est populaire, ils peuvent l’inclure à leur menu en salle et ainsi éviter le gaspillage alimentaire.
Devant le succès grandissant de ces applications mobiles et avec la pénurie de main-d’œuvre, gageons que ces restaurants fantômes verront rapidement le jour, ici, au Québec.